Petite bague.
vendu
Onyx noire et argent massif 925.
Description
Modèle élégant et fin.
L’Onyx symbolise la maîtrise de soi.
Dimension du cabochon : 7mm sur 5mm. Sertissage clos.
Tailles possibles de 48 à 58.
Frais d’envoi 4€ colis relais ou 6€ la poste colissimo.
Existe aussi avec d’autres pierres comme la Turquoise, la Pierre de Lune, la Malachite…
Une pierre, Une histoire
Description
L’onyx est une calcédoine noire parfois constituée de bandes parallèles blanches. Famille des Quartz. Couleur: noir, noir zoné de blanc, rose, vert, bleu.Dureté: 7 sur 10 sur l’échelle de Mohs. Origine du nom: du grec (onyx = ongle) en raison de sa structure finement stratifié. Gisement: Inde, Amérique du nord, Amérique du sud, Afrique du nord, Iran.... L’onyx est prisé pour la gravure des camées
Ses Vertus
L’onyx noir n’est pas une pierre hostile, il est même réputé pour procurer du réalisme et un sens aigu des responsabilités. Son rayonnement nous rend conscient de la précarité de l’existence, de l’intérêt à écarter le superflu et donc organise la pensée et l’oriente vers le concret. Ses vibrations suppriment les dangers et détournent les ondes nocives. Placé dans la bouche, ,il éclaircit la voix, ,pondère le débit rapide des personnes nerveuses ou agitées. L’onyx renforce l’endurance et la résistance au froid. Il exerce une action sédative sur les hyperactifs. En général, il assure une bonne coordination de la pensée et de l’action, met à l’aise dans toutes les situations.
Symboles et Croyances
En Inde et en Perse on lui accorde des pouvoirs bénéfiques, notamment sur l’accouchement qu'il facilite et accélère. Longtemps considéré comme une pierre de discorde, elle peut être au contraire une pierre d’exorcisme entre les mains d’un expert. Dans les traditions indiennes: bouclier de protection contre les forces maléfiques, et au Moyen-Age: pierre de discorde. C'est la pierre qui symbolise le courage et la dignité. Les personnes qui aiment la couleur noire imposent leur volonté ,elles vivent et travaillent en s'engageant entièrement.
